Jean Guillaume Despature, président du directoire et directeur général de Somfy.
Numéro un mondial des ouvertures du bâtiment et pionnier de la maison connectée, Somfy fait évoluer son fonctionnement autour de trois grands principes.
Une architecture par fonction est mise en place pour accompagner le développement du groupe. L’accent est mis sur la digitalisation des produits, de la relation clients et des opérations. Enfin, l’organisation est centrée sur la relation client avec des interfaces réduites pour faciliter les arbitrages et optimiser l’allocation des ressources. Le nouveau comité exécutif vient concrétiser cette évolution avec l’ajout d’une direction « stratégie et perspectives », le redécoupage des trois activités (home & building, accès, solutions connectées) en une direction « produits et services », une direction « ingénierie et qualité » et une direction « opérations et logistique ». Pour gagner en transversalité, les filiales commerciales seront ventilées dans deux grandes zones géographiques.
Un nouveau plan stratégique à trois ans
Autour de Jean Guillaume Despature, président du directoire et directeur général de Somfy, le comité exécutif rassemble Pierre Ribeiro (finances), Valérie Dixmier (ressources humaines et organisation), Marie Ziegler (stratégie et perspectives), Jean-Pascal Rey (ventes Nord et Ouest), Bruno Barlet (ventes Sud et Est), Marc Westermann (produits et services) et Jean-Claude Rivier (ingénierie et qualité). « Avec cette nouvelle organisation, Somfy se dote de moyens pour renforcer sa position de leader de l’automatisation des ouvertures de bâtiments », souligne Jean Guillaume Despature qui supervisera la définition et la mise en place d’un nouveau plan stratégique à trois ans, s’appuyant sur les acquis du programme « believe & act » déployé depuis 2017. L’ambition du groupe haut-savoyard, qui a fêté ses cinquante ans en 2019, est de demeurer un partenaire de référence dans un secteur, l’industrie du bâtiment, qui connaît de profondes transformations : accélération de la digitalisation, nécessité d’une plus grande maîtrise de l’énergie, cycles d’innovation toujours plus courts…
Cet article a été publié dans le numéro 2399 de Bref Eco.